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La bonne nouvelle que le salut est pour tous, sans distinction de sexe, annoncée par saint Paul et développée par Origène, n'était rien de moins que révolutionnaire. Tous les espoirs semblaient permis aux femmes qui formaient la plus grande partie des premières communautés chrétiennes. Elles offraient leurs maisons comme églises domes-tiques, participaient au ministère, prodiguaient les dons en argent et en nature, allaient en pèlerinage et ne craignaient pas de rival dans les prouesses ascétiques. Après la conversion de Constantin, les impératrices et dames patriciennes se rendent à Jérusalem et y entreprennent des constructions grandioses. Certaines s'adonnent à l'étude du grec et de l'hébreu pour lire la Bible et les commentaires des Pères.
«Spectacle unique dans l'histoire et moment trop vite écoulé!», déplore un catholique contemporain. Un regard sur la situation des femmes dans l'Eglise jusqu'à saint Thomas d'Aquin découvre les étapes qui ont abouti à «l'exil féminin» dont parle Jean-Marie Aubert.
Date de disponibilité :
Editeur | HONORE CHAMPION |
Collection | ESSAIS SUR MOYEN AGE |
Format | IN-8 |
No dans la collection | 0016 |
Nombre de volume | 1 |
Nombre de pages | 287 |
Type de reliure | RELIÉ |
Date de publication | 13/12/1995 |
Lieu d'édition | PARIS |
ISBN | 2852034964 |
EAN13 | 9782852034969 |